Bienvenue à
Victoriaville
Après 2 heures de route, nous arrivons à Victoriaville situé dans la région des Bois-Francs au Centre-du-Québec, sur un terrain de golf mature et bien manucuré
. Comme vous pouvez le constater, l’équipe s’aventure un peu
partout au Québec. Cela nous permet de mieux comprendre les situations que
vivent les terrains, en tenant compte de sa situation tant géographique que
démographique, en regardant aussi le climat local, l’accessibilité du terrain,
la qualité de la surface de jeu, l’hospitalité des employés et d’autres petits détails souvent important aux joueurs visiteurs.
la qualité de la surface de jeu, l’hospitalité des employés et d’autres petits détails souvent important aux joueurs visiteurs.
Ici, nous n’avons pas à nous plaindre. Le terrain, même s’il
est situé dans un quartier résidentiel est
facile d’accès. Et malgré un imbroglio au sujet de l’heure de départ,
Antoine au Pro-Shop, en complicité avec M. Thibault le préposé au départ, a
fait ce qu’il fallait pour remettre le tout en ordre. Nous nous sommes donc
élancer sur un tout nouveau terrain pour 2 d’entre nous.
L’aire de jeu était parfaite. Le gazon des allées, dru et
court tenait bien la balle. Même si vous frappez votre coup de départ dans le
bois, vous trouviez votre balle facilement tant le sous-bois est bien entretenu.
Et malgré cette mésaventure, il m’est arrivé d’avoir quand même une
« shot », les branches basses étant taillées. Ce qui est plaisant,
car quand tu réussis ton coup, ton égo se sent comme un Phil Michelson.
Particularité du
terrain, il y a autant de par 3 que de par 4 et de par 5. C’était la première
fois que je voyais cela. Pas d’eau en jeu, mais beaucoup de trappes de sables.
Gilles en sait quelque chose, mais ce sacré Gilles a réussi de très belles
sorties, ce qui a fait son très bon score.
Et que dire des verts?
Au départ, Antoine nous avait avisés de la lenteur des verts. Au premier trou,
on a tous défoncé. Je ne sais pas c’est quoi des verts lents pour Antoine, mais
pour nous, c’était les plus rapides que nous avons croisés dans la saison. Si
la « pin » est rouge, vous êtes mieux de tomber devant, car malgré la
grandeur des verts et de ses ondulations prononcées, si la balle tombe trop au
centre, il y a de grandes chances qu’elle roule à l’extérieur. Et pas facile
ces verts pour les coups roulés! J’ai l’habitude de ne pas dépasser 36 ou 38
coups roulés dans une partie, mais malgré ce gazon impeccable où la balle ne
sautait pas mais roulait en tabarouette, additionner d’une lecture
invariablement difficile, ce fut 45 coups roulés qu’il m’a fallu faire dans cette
partie.
Une terrasse merveilleusement aménager sous les arbres
complète le tableau du 19 ième trou. Une première aussi pour nous sur une
terrasse de golf, de la bière grand format. Comme à l’époque du CEGEP.
J’y retournerais sur ce terrain. Ne serais-ce que pour me
rattraper dans mes coups roulés ou pour les sorties de bois souvent spectaculaire. Mais
rendez-vous compte du terrain par vous-même en regardant notre reportage
photographique ci-contre et en réservant un départ au (819) 752-4907 poste 230. Des images de Sylvain Favreau.
Jacques Cyr, Aventurier d’AVENTURE-GOLF.COMhttp://www.golfvictoriaville.com/